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Général Alain-Guillaume Bunyoni |
Le
ministre de la
sécurité publique a été interpelé à donner la lumière sur ces exactions
qui se
commettent, qui emportent des vies humaines et dont la dénomination
leurs auteurs
n’est jamais unanime. Pour les uns ces personnes à mains armées
seraient issues
d’une rébellion au moment où pour d’autres ces personnes sont de
simples
bandits. A cette inquiétude bien précise, M. Bunyoni a nié toute
existence
d’une rébellion en gestation et a parlé de groupes de bandits qui
déstabilisent
le pays. Il a rassuré que des mesures
ont été prises dans le but de juguler à
jamais ces causes d’insécurité.
Comparativement
aux
années antérieures, le ministre de la sécurité publique s’est réjouit
que
durant les trois mois derniers, les cas de vols, de violations des
femmes et
des tueries ont sensiblement diminué. A la question de savoir le sort
que son
ministère réserve aux policiers qui se comportent mal - étant donné que
certains d’entre eux sont souvent cités dans des actes de barbarie -,
le
ministre Bunyoni a fait savoir qu’un bon nombre de ces policiers sont
soit incarcérés,
soit subissent des sanctions disciplinaires voire même chassés, s’il
s’avère qu’ils
sont coupables.
Admin@2010
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