Cinq conseils pour devenir chef rebelle
- Connaître l’histoire pour être à même de l’instrumentaliser
- Se donner une image de victime
«Se victimiser marche souvent! Ça permet de montrer aux «notables» de la communauté que votre tribu est une espèce en voie d’extinction. Vous aurez automatiquement leur soutien.»
- Constituer un noyau dur de jeunes cadres
- Avoir recours à la religion, au spiritisme ou à la mythologie
- Prendre le contrôle de l’économie de la région
Burundi/Rumonge : les agents de l’ordre blessent un chimpanzé
Les responsables de l’hôtel Pinacle 19 demandent des sanctions aux agents de la police qui ont tiré sur leur chimpanzé. Ces agents monteraient la garde dans une parcelle d’un haut gradé de la police et cadre à la présidence de la République.
Au niveau de la Police Nationale, le porte-parole de cet organe fait savoir que des enquêtes sont en cours et annonce que le policier auteur de cet incident une fois connu sera sanctionné. Il tient à souligner aussi que le chimpanzé est loin d’être un animal agressif.
Alcootest à Bujumbura : « Vous êtes ivre, madame ! »
Les 24 et 25 décembre, la Police de la Sécurité Routière (PSR) a procédé à des contrôles du taux d’alcool des conducteurs. La douloureuse n’est pas que la facture !
« Vous êtes ivre, madame ! », le commandant était intransigeant, sévère, raconte S.N., une jeune femme contrôlée positive, le soir du réveillon de Noël. « Certes j’avais bu quelques verres de vin, mais rien de grave, je maîtrisais parfaitement ma conduite » explique-t-elle, contrariée. La raison de son emportement, ce sont les 50.000 Fbu qu’elle a écopé, en guise d’amende: « On me dit que je suis ivre et on me laisse repartir avec la voiture…ce n’est pas logique ! » rit-elle.
Pour les Burundais, toute occasion est bonne pour lever le coude : levée de deuil, mariage, dot, levée de voile…Les meilleurs sont les fêtes de fin d’année. On se rassemble dans les bars, autour d’une brochette de chèvre, en boîte de nuit avec les amis, à la plage en famille… Mais attention, cette année, une surprise s’invite à la partie : l’alcootest.
A nos risques et périls
Le Commandant Nzitabakuze n’y va pas par quatre chemins : « La conduite en état d’ivresse est strictement interdite ! La loi est assez claire là-dessus ! » Et les gens sont prévenus. Depuis quelques temps, des spots publicitaires passent sur les différentes radios. « Le dispositif alcootest sera utilisé à l’occasion des fêtes de fin d’année. »
Dès le 24 décembre, des policiers ont procédé aux contrôles, à certains endroits de la capitale : route Rumonge, chaussée d’Uvira (vers Gatumba), autour des ponts, etc. Gare à celui qui dépasse 0, 89 mg/l ! « Après une amende de 50.000 Fbu, nous reprenons la voiture si le conducteur est seul et le mettons dans une cellule de dégrisement… Mais il y a eu des cas où tous les passagers étaient complètement ivres. Nous avons dû alors les reconduire gentiment chez eux » raconte, dans un demi-sourire, le commandant.
L’ancien ambassadeur du Burundi en France limogé avant de commencer
L'ancien ambassadeur du Burundi en France Musavyarabona avait été nommé par décret au poste de direction au ministère des affaires étrangères. Plusieurs burundais de Paris affirment qu'il n'avait pas encore déménagé pour rentrer au Burundi au moment où le nouvel ambassadeur était déjà en place.
Nous publions un décret qui nomme une autre personne à la place de Musavyarabona sans qu'il ait repris son nouveau poste. A Paris, il se murmure que les mauvaises conditions de logement du nouvel ambassadeur seraient à l'origine de ce limogeage.
Il avait été nommé par le décret 100/ 105 DU 5 avril 2013. Plus de trois mois après, il perd son poste au profit de Ntahonkuriye.(BurundiNews)
DECRET N° 100/ 184 DU 20 JUILLET 2013 PORTANT NOMINATION D’UN HAUT CADRE AU MINISTERE DES RELATIONS EXTERIEURES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE
20-07-2013
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
Vu la Constitution de la République du Burundi ;
Vu la Loi n° 1/09 du 17 mars 2005 portant Distinction des Fonctions Politiques des Fonctions Techniques ;
Vu la Loi n° 1/08 du 28 avril 2011 portant Organisation Générale de l’Administration Publique ;
Vu le Décret n° 100/125 du 19 avril 2012 portant révision du décret n°100/ 323 du 27 décembre 2011portant Structure, Fonctionnement et Missions du Gouvernement de la République du Burundi ;
Vu le Décret n° 100/101 du 3 avril 2013 portant Révision du Décret n° 100/180 du 27 octobre 2009 portant Réorganisation du Ministère des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale ;
Sur proposition du Ministre des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale ;
DECRETE :
Article 1 : Est nommé Directeur Général de l’Inspection Diplomatique, de la Diaspora et de la Communication :
Ambassadeur Emérence NTAHONKURIYE.
Article 2 : Toutes dispositions antérieures contraires au présent décret sont abrogées.
Article 3 : Le Ministre des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale est chargé de l’exécution du présent décret qui entre en vigueur le jour de sa signature.
Fait à Bujumbura, le 20 juillet 2013,
Pierre NKURUNZIZA.
PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
LE PREMIER VICE-PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
Thérence SINUNGURUZA.
LE MINISTRE DES RELATIONS EXTERIEURES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE,
Laurent KAVAKURE.
Deux divorcés se disputent la garde de leur enfant à Gihanga
Défilé du 1er Juillet 2011 a Bujumbura lors de la fête nationale burundaise
Un chien défile avec les éléments de la police nationale burundaise;et personne n'ose l'en empêcher.
Est-ce un signe?
Quand une position policière se transforme en un centre de santé
Sur la colline Kivo zone Gatare commune Busoni en province de Kirundo, le chef de la position surnommé Cohoha soigne sous l’étonnement de la population locale. Il arrache les dents, pratique la kinésithérapie et traite le paludisme. Un des conseillers collinaires n’a pas voulu s’exprimer à propos mais le représentant des jeunes du parti CNDD FDD dit Imbonerakure lui confirme ces informations. « Ce policier n’a pas le droit d’exercer ce métier », indique le commissaire Domitien Niyonizigiye. La population locale s’inquiète de la provenance des médicaments et des ustensiles utilisés et demande que la loi soit respectée.
Mésentente sur la façon dont le meurtrier hippopotame de Bugarama surnommé Maroha sera abattu.
Bulletins scolaires
Divergence à propos de la gestion de la question de l’hippopotame surnommé Maroha qui a déjà tué 18 personnes et blessé 5 autres en moins d'une année et demie dans la région de Nyaruhongoka de la commune Bugarama dans Bujumbura rural. L’administration locale veut que cet hippopotame soit abattu alors que l’Institution Nationale pour la Conservation de la Nature « INCN » exige qu’il y ait une identification précise pour que ses congénères ne soient pas victimes de cette chasse.
3 enfants de policier (umu rolage wo kuri Chanic) rentrent du lycée avec leurs bulletins de notes, tous les 3 ont échoué.
Leur père furieux commence à infliger une bastonnade à tour de rôle. Arrivé au 3ème enfant il ne réagit pas.Pas de bastonnade.
-
Allez tous vous coucher bande de vauriens, dit-il. Vous allez me faire
vieillir avant le temps.Quand j'avais votre âge au lycée, mon papa
présentait mes bulletins à tous le quartier!
Dans la chambre, les 2 punis disent à leur frère:
"Papa t'aime bcp; tu as échoué et il ne t'a pas fouetté"; et celui-ci de répondre:
"Vous même vous savez que papa est policier et vous remettez vos bulletins sans rien glisser dedans ??!!!"
Les ogres qui violent les femmes au Burundi!Dans la chambre, les 2 punis disent à leur frère:
"Papa t'aime bcp; tu as échoué et il ne t'a pas fouetté"; et celui-ci de répondre:
"Vous même vous savez que papa est policier et vous remettez vos bulletins sans rien glisser dedans ??!!!"
Les habitants de la commune Cendajuru en province de Cankuzo
ne dorment plus chez eux, suite aux rumeurs faisant état des ogres qui
attaquent les ménages pendant la nuit et qui, à leur passage violent les
femmes.
Ces habitants déclarent déjà trois cas, des fuites et une
justice populaire s’installent déjà dans la commune. L’administration
locale parle plutôt de banditisme et les associations des droits de
l’homme demandent aux autorités communales et provinciales de mettre fin
à cette insécurité.
RPA
Trop gros pour aller en Afghanistan
Le ministère britannique de la Défense a expliqué jeudi que Ken Maginnis et David Simpson auraient dû prendre l'avion pour Kaboul cette semaine, mais que la protection militaire n'était pas suffisamment large pour eux, aucun modèle ne convenant à un tour de taille supérieur à 124,5 centimètres.Ken Maginnis, 72 ans, membre de la Chambre des Lords, assure qu'il a perdu du poids depuis deux ans et qu'à cette époque l'armée lui avait bien trouvé un gilet pare-balles à sa taille.
«Nous sommes raisonnablement normaux, bien que nous soyons plus larges que la moyenne», estime-t-il, en parlant de lui-même et de son collègue David Simpson.
«Nous sommes raisonnablement normaux, bien que nous soyons plus larges que la moyenne», estime-t-il, en parlant de lui-même et de son collègue David Simpson.
Maître E. Giswaswa |
Ceux qui étaient sur les lieux n'en croyaient pas leurs yeux en voyant Maître Evrard Giswaswa, Maire de la Ville de Bujumbura, en venir aux mains avec des jeunes qui se trémoussaient dans le Toxic Night Club de Bujumbura, situé tout près de Havana Club.
C'était dans la nuit du Samedi 16 Octobre vers 3 heures du matin, quand une dispute a commencé entre le Maire Giswaswa qui sans nul doute avait pris un verre de trop et qui se disputait une fille de joie avec un groupe de jeunes. La dispute ayant tourné en une véritable bagarre, la garde de Giswaswa (composée de policiers) n'a pas tardé à s'en mêler.
Maître Giswaswa, un véritable boxeur comme indiquent les témoins qui l'ont vu lancer de lourds coups de poing et de pied, constatant que le combat devenait de plus en plus grave, en appelant au commissaire de la police en Mairie de Bujumbura qui ne tarda pas à débarquer avec des renforts de policiers.
C'est ainsi que nos pauvres jeunes furent tabassés sérieusement jusqu'à ce que l'un d'eux perde conscience. Voyant que la situation tournait plutôt à un meurtre, nos chers cadres, du Cndd-Fdd bien sûr, embarquèrent la victime dans leur camionnette et l'amenèrent à l'Hôpital Prince Régent Charles.
Les veilleurs ont été scandalisés de voir le Maire de la ville, ivre, les habits sales et déchirés à cette heure là de la matinée. Comme des lions furieux, certainement suite à leur état d'ébriété, ils n'ont pas hésité à tabasser le veilleur de cet hôpital qui essayait de savoir à qui il avait à faire et qui allait payer la caution du malade. Toujours Giswaswa, grand boxeur fut le premier à gifler le pauvre veilleur et le conduisit au cachot du BSR, le Bureau Spécial de Recherche. Quel scandale !
On aura tout vu dans ce pays ! Et voilà l'exemple par lequel nos chers dirigeants prêchent ! Sous d'autres cieux, Maître Giswaswa aurait, dès la matinée suivante, adressé sa démission aux autorités habilitées et à défaut celles-ci se seraient saisi du dossier et l'auraient limogé sans aucune autre forme de procédure. D'aucuns se demandent si le brave Giswaswa osera encore se tenir devant la population de Bujumbura pour lui donner des leçons de moral.
Mais comme disait l'autre, le ridicule ne tue pas.
Burunditransparence.orgC'était dans la nuit du Samedi 16 Octobre vers 3 heures du matin, quand une dispute a commencé entre le Maire Giswaswa qui sans nul doute avait pris un verre de trop et qui se disputait une fille de joie avec un groupe de jeunes. La dispute ayant tourné en une véritable bagarre, la garde de Giswaswa (composée de policiers) n'a pas tardé à s'en mêler.
Maître Giswaswa, un véritable boxeur comme indiquent les témoins qui l'ont vu lancer de lourds coups de poing et de pied, constatant que le combat devenait de plus en plus grave, en appelant au commissaire de la police en Mairie de Bujumbura qui ne tarda pas à débarquer avec des renforts de policiers.
C'est ainsi que nos pauvres jeunes furent tabassés sérieusement jusqu'à ce que l'un d'eux perde conscience. Voyant que la situation tournait plutôt à un meurtre, nos chers cadres, du Cndd-Fdd bien sûr, embarquèrent la victime dans leur camionnette et l'amenèrent à l'Hôpital Prince Régent Charles.
Les veilleurs ont été scandalisés de voir le Maire de la ville, ivre, les habits sales et déchirés à cette heure là de la matinée. Comme des lions furieux, certainement suite à leur état d'ébriété, ils n'ont pas hésité à tabasser le veilleur de cet hôpital qui essayait de savoir à qui il avait à faire et qui allait payer la caution du malade. Toujours Giswaswa, grand boxeur fut le premier à gifler le pauvre veilleur et le conduisit au cachot du BSR, le Bureau Spécial de Recherche. Quel scandale !
On aura tout vu dans ce pays ! Et voilà l'exemple par lequel nos chers dirigeants prêchent ! Sous d'autres cieux, Maître Giswaswa aurait, dès la matinée suivante, adressé sa démission aux autorités habilitées et à défaut celles-ci se seraient saisi du dossier et l'auraient limogé sans aucune autre forme de procédure. D'aucuns se demandent si le brave Giswaswa osera encore se tenir devant la population de Bujumbura pour lui donner des leçons de moral.
Mais comme disait l'autre, le ridicule ne tue pas.
Le gouvernement boycotte un don...
Yu Xuzhong |
Après avoir attendu longtemps, le diplomate apprend que le ministre ne viendra pas. Furieux, il a rebroussé chemin. Célestin Nduwamungu, directeur général de la Regideso est arrivé sur les lieux après le départ de Monsieur Yu Xuzhong.
Iwacu
Le capitaine Ntawuyamara Adelbert, alias DeDe, un criminel qui commémore le décès de sa victime
Iwacu
Le capitaine Ntawuyamara Adelbert, alias DeDe, un criminel qui commémore le décès de sa victime
Il y a beaucoup de choses anormales dans ce pays, le Burundi, où le crime gangrène toutes les couches sociales de ce peuple longtemps meurtri par des clivages internes et des tueries intestines.
Le cas qui nous occupe aujourd'hui est beaucoup plus qu'anormal car nous assistons à des comportements inhabituels dans la société burundaise. En effet, il y a plus d'une année, la communauté nationale en général et la famille RURADEDEYE Arnauld en particulier ont pleuré plus que jamais la mort inopinée de Mademoiselle KWIZERA Anick, alors cadre de la deuxième vice-présidence de la République, et ce, pour des raisons obscures.
A cette période fatidique, elle venait de rompre les relations de fiançailles avec le Capitaine NTAWUYAMARA Adelbert, alias DeDe, un handicapé qui prospère au sein du corps des Forces de la Défense Nationale dans la marine. Les plus proches de ce pseudo-couple témoignent que ce jeune officier est un soûlard qui ne faisait que maltraiter sa fiancée allant jusqu'à la battre comme un serpent. C'est cela même qui avait poussé la victime à prendre une lourde décision de rompre ces fiançailles.
Mais en retournant un peu en arrière, lors des élections tronquées de juin 2010 au Burundi, c'est cette brave fille qui a dénoncé les fraudes opérées par la CENI spécialement en mettant à découvert les bonds de commande et les factures des milliers de bulletins de vote qui ont été effectuées à la société MEX. L'on se souviendra, en passant, des contradictions notoires qui ont caractérisé le Président de la CENI Pierre Claver NDAYICARIYE et son porte-parole Prosper NTAHORWAMIYE sur cette question.
Il fut alors décidé de faire disparaître ce témoin gênant. La mission fut confiée à son ancien fiancé qui en profitera pour préparer une extraordinaire excursion vers la plage éloignée de la capitale Bujumbura, à l'endroit dit "SAGA RESHA".
Effectivement il est sorti avec la pauvre et innocente Anick. Comme son bourreau est de la marine, il avait ménagé des pêcheurs pour préparer un poisson empoisonné destiné spécialement à sa fiancée et elle en a succombé tout juste après deux jours à l'hôpital.
Aujourd'hui alors, on va assister à un autre scandale inhabituel pour les grands criminels de ce pays des DD : comme les cartes (ci-dessous) contradictoires le prouvent bel et bien ci-après, la famille RURADEDEYE Arnauld a organisé, une année après les funérailles, une "levée de deuil définitive de leur enfant KWIZERA Anick, Dimanche le 23/12/2012. Les cérémonies débuteront par une messe d'action de grâce en sa mémoire qui sera célébrée à la Paroisse Saint Joseph de Ngagara à 10hOO, et se poursuivront dans la salle de réception "Ozone Diplomatique" sise à Ngagara Q4. La famille vous réitère ses sincères remerciements pour le soutien que vous n'avez cessé de lui témoigner et compte sur votre présence à ces cérémonies".
Les témoins de ces cérémonies sont les membres de sa famille et des milliers d'amis qui y ont marqué leur participation. Ici nul n'ignorerait que même DeDe et certains membres de sa famille y ont participé comme ils l'avaient fait le jour des funérailles.
Très curieusement, après avoir appris que le dossier était déjà connu de plus d'un dans cette petite capitale de ce petit pays où chacun connaît chacun, le Capitaine DeDe distribue des "Faire Part" pour commémorer cet événement qu'est la mort de KWIZERA Anick. Il continue en se l'appropriant comme Madame alors que nulle part dans les registres de l'état civil de ce pays n'est marqué l'union légale de la victime avec DeDe. Peut-on affirmer aujourd'hui que DeDe est veuf ?
Les sources bien informées confirment que c'est d'une part, un moyen de tromper l'opinion pour montrer que DeDe a perdu quelqu'une qu'il aime au point de commémorer indéfiniment cet événement. Ici l'on peut se poser la question de savoir qu'il y trouve le bonheur réellement de se souvenir de cette illustre disparu.
D'autre part, les plus proches de DeDe affirment qu'il aurait trouvé une voie de s'enrichir car il croit que les amis de la victime et surtout sa famille sociopolitique vont toujours apporter beaucoup de contributions en sa faveur puisqu'il est l'organisateur des cérémonies. Cela démontre une escroquerie sans nom de la part d'un officier des Forces de Défense Nationale et de celle de toute sa famille si, du moins, il compte le faire toutes les années.
Il est à espérer que sa famille et spécialement celle de RURADEDEYE Arnauld vont se lever pour arrêter cet imbroglio qui ne fait que piétiner les us et coutumes burundaises.
La date fantaisiste du 10 Mars 2013 approche ; faut-il réagir à temps pour empêcher la Mess des Officiers Garnison de Bujumbura d'abriter de telles barbaries.
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