Cette fois, ces groupes armés non identifiés ont frappé dans deux localités, dans les provinces de Kayanza dans le nord du Burundi, et dans la province de Gitega au centre. Le bilan est lourd : 5 morts, dont un policier, et 4 blessés.
Depuis fin mai 2010 et la contestation du processus électoral, les attaques de villages, les assassinats ciblés et autres embuscades se sont multipliés alors que plusieurs opposants dont le leader des ex-rebelles des FNL (Forces nationales de libération du Burundi), Agathon Rwasa sont rentrés dans la clandestinité.
Tout aussi inquiétant, l’on parle de policiers et de soldats qui auraient déserté pour rejoindre le maquis et depuis une semaine, un des anciens chefs militaires des FNL qui avait intégré l’armée régulière burundaise manque officiellement à l’appel. Il aurait été blessé alors qu’il tentait lui aussi de rejoindre le maquis.
De plus en plus de Burundais sont aujourd’hui convaincus que même s’il n’y a pas eu de revendication officielle jusqu’ici, une nouvelle rebellion est en voie de se reformer dans les marais de l’ouest et dans la forêt de Kibira au nord, malgré les démentis répétés des autorités politiques et militaires qui assurent qu’il s’agit de : « groupes de bandits non identifiés qu’ils sont en train de combattre ».
RPA
Sécurité-Des individus ont été arrêtés accusés d’être membres d’une rébellion dans Bujumbura rural.
Quatre personnes ont été arrêtées ce vendredi dans les communes Isare et Nyabiraba dans la province de Bujumbura rural. La population de cette localité pense que ces personnes seraient membres des rebellions dite en gestation. Actuellement, elles sont dans les mains des forces de l’ordre et de l’administration.
Politique
Inquiétude au sein du parti FNL quant à la disparition de son porte-parole.
Depuis fin mai 2010 et la contestation du processus électoral, les attaques de villages, les assassinats ciblés et autres embuscades se sont multipliés alors que plusieurs opposants dont le leader des ex-rebelles des FNL (Forces nationales de libération du Burundi), Agathon Rwasa sont rentrés dans la clandestinité.
Tout aussi inquiétant, l’on parle de policiers et de soldats qui auraient déserté pour rejoindre le maquis et depuis une semaine, un des anciens chefs militaires des FNL qui avait intégré l’armée régulière burundaise manque officiellement à l’appel. Il aurait été blessé alors qu’il tentait lui aussi de rejoindre le maquis.
De plus en plus de Burundais sont aujourd’hui convaincus que même s’il n’y a pas eu de revendication officielle jusqu’ici, une nouvelle rebellion est en voie de se reformer dans les marais de l’ouest et dans la forêt de Kibira au nord, malgré les démentis répétés des autorités politiques et militaires qui assurent qu’il s’agit de : « groupes de bandits non identifiés qu’ils sont en train de combattre ».
RPA
Sécurité-Des individus ont été arrêtés accusés d’être membres d’une rébellion dans Bujumbura rural.
Quatre personnes ont été arrêtées ce vendredi dans les communes Isare et Nyabiraba dans la province de Bujumbura rural. La population de cette localité pense que ces personnes seraient membres des rebellions dite en gestation. Actuellement, elles sont dans les mains des forces de l’ordre et de l’administration.
Politique
Inquiétude au sein du parti FNL quant à la disparition de son porte-parole.
Rwasa Agathon,President du FNL |
Jean Bosco Havyarimana, porte-parole du parti FNL, reste introuvable depuis deux semaines, et jusqu’aujourd’hui personne ne sait où il pourrait être. Alfred Bagaya, vice-président du parti FNL, ne sait non plus où il pourrait être et indique que son téléphone ne répond pas. Comme il était chargé de la communication au sein du parti, poursuit Alfred Bagaya, les membres de ce parti vont provisoirement le remplacer par un autre, le temps d’attendre son retour, afin que l’opinion tant nationale qu’internationale soit au courant des idées du parti FNL. En outre, Alfred Bagaya indique que la présidence du parti leur appartient toujours malgré l’occupation de leur présidence par l’aile Emmanuel Miburo. Il ajoute que son parti attend toujours la réponse du Président de la République quant à la lettre qu’Agathon Rwasa lui a adressée.
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