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23 avril 2011

La défense du président de l’Olucome pour une fois d’accord avec le tribunal de grande instance en marie de Bujumbura.

Net Press
              Gabriel Rufyiri
Le président de l’Olucome, M. Gabriel Rufyiri a répondu hier à une convocation du tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura. Elle lui avait été adressée afin qu’il fournisse un complément d’informations sur les menaces qui pèseraient sur une quarantaine de personnes appartenant à l’opposition, à la société civile et à la catégorie des professionnels des médias.

L’avocate de la défense, Me Christella Harerimana, a exprimée sa satisfaction peu après l’audience de son client, ce qui est plutôt rare lorsque le président de l’Olucome a à faire avec la justice. Elle a expliqué que c’est une procédure tout à fait classique et normale, du moment que M. Rufyiri avait saisi la police criminelle et que parmi la quarantaine des personnes se trouvant dans le collimateur des escadrons de la mort, son nom figure en bonne place.

Interrogée pour donner des précisions sur ces attentats potentiels et sur l’identité de ceux qu’ils viseraient, Me Harerimana n’a voulu rien révéler, expliquant que les hommes (et les femmes) de loi ont pour consigne de ne jamais révéler le contenu des dossiers encore en instruction.


     Ngenzirabona

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