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Gabriel Rufyiri |
L’avocate de la défense, Me Christella Harerimana, a exprimée sa satisfaction peu après l’audience de son client, ce qui est plutôt rare lorsque le président de l’Olucome a à faire avec la justice. Elle a expliqué que c’est une procédure tout à fait classique et normale, du moment que M. Rufyiri avait saisi la police criminelle et que parmi la quarantaine des personnes se trouvant dans le collimateur des escadrons de la mort, son nom figure en bonne place.
Interrogée pour donner des précisions sur ces attentats potentiels et sur l’identité de ceux qu’ils viseraient, Me Harerimana n’a voulu rien révéler, expliquant que les hommes (et les femmes) de loi ont pour consigne de ne jamais révéler le contenu des dossiers encore en instruction.
Ngenzirabona
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