Zénon Nicayenzi conseille l’Etat burundais à ne pas se piéger dans l’appellation des groupes armés qui sillonnent dans Bujumbura rural.
Un homme armée abattu dans la ville de Bujumbura après une attaque. |
Selon lui, les hauts cadres devraient se réserver dans leurs dires. Ce vieux routier indique que si du moins le qualificatif convient à ces perturbateurs de l’ordre, il faut mobiliser des psychiatres pour les soigner au lieu d’envoyer les militaires.
Peu importe l’appellation, l’urgence pour la population est d’être sécurisée, ajoute Zénon Nicayenzi. Et par conséquent, il demande au Gouvernement de ne pas se tendre un piège.
C.R.@2011
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire