Pierre Nkurunziza(Burundi)et Paul Kagame(Rwanda) |
Le président burundais et son homologue rwandais |
La
cohabitation est jugée généralement bonne entre les deux pays qui n’ont
que quelques différends frontaliers mineurs à régler et c’est surtout
du côté de la RDC que les regards restent rivés.
Les deux petits voisins du Congo étaient dans le même camp lors de la première grande guerre civile des années 1997 à laquelle ont pris part au moins sept armées et autant de rébellions de la sous-région dans l’ex-Zaïre.
La rencontre au sommet de Ngozi a été précédée de peu de celle des chefs d’états-majors généraux des armées burundaise, congolaise et rwandaise à Kigali.Le communiqué final de la rencontre a fait état d’une nouvelle rébellion en gestation à l’est de la RDC pour s’attaquer à la sécurité intérieure du Rwanda.Plusieurs dissidents en exil, dont l’ancien ministre rwandais de la Défense, Kayumba Nyamwasa, ont été nommément cités parmi les instigateurs de la présumée rébellion dirigée contre le régime du général Kagame.
Les deux petits voisins du Congo étaient dans le même camp lors de la première grande guerre civile des années 1997 à laquelle ont pris part au moins sept armées et autant de rébellions de la sous-région dans l’ex-Zaïre.
La rencontre au sommet de Ngozi a été précédée de peu de celle des chefs d’états-majors généraux des armées burundaise, congolaise et rwandaise à Kigali.Le communiqué final de la rencontre a fait état d’une nouvelle rébellion en gestation à l’est de la RDC pour s’attaquer à la sécurité intérieure du Rwanda.Plusieurs dissidents en exil, dont l’ancien ministre rwandais de la Défense, Kayumba Nyamwasa, ont été nommément cités parmi les instigateurs de la présumée rébellion dirigée contre le régime du général Kagame.
On connaissait jusque-là
l'existence résiduelle sur le sol congolais de combattants des Forces
démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR).
Une rébellion en gestation continue également à faire parler d’elle le long des frontières communes entre le Burundi et la RDC.
Les
rumeurs allant dans ce sens se sont intensifiées au lendemain des
récentes élections générales dont la régularité fait aujourd’hui encore
l’objet de contestation au sein de la classe politique nationale.
Au
moins cinq attaques ciblées contre des positions de la police nationale
dans divers endroits isolés du pays ont été signalés par les médias et
les forces de sécurité ces derniers jours au Burundi où, pour le moment,
on les réduit officiellement à de simples actes de banditisme à main
armée.
Admin@2011
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