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Plus de 7 années après le meurtre d’Agnès Dury, humanitaire engagée auprès d’Action contre la Faim, l’enquête est enfin relancée avec le déplacement du juge d’instruction sur place, au Burundi. Pourquoi a-t-elle été tuée le 31 décembre 2007 ? Quelles sont les circonstances exactes de ce drame ? Les parties civiles espèrent que ce déplacement sera enfin l’occasion de faire avancer la justice.
Le juge d'instruction, M. Aurélien Bailly-Salins, se rend aujourd’hui sur le terrain pour deux semaines d’enquête. Il est accompagné d'un officier de l'OCRVP1, le service de police français chargé de l'enquête depuis le début de la procédure. Les avocats des parties civiles, Maitre Chabert et son collaborateur, Maître Delacarte, le rejoindront dès mercredi et ce jusqu’à la fin du séjour.
Si ce déplacement redonne espoir aux proches d’Agnès et à Action contre la Faim, il soulève également des questions :
« Le travail sur le terrain est primordial dans une enquête de ce type. Ce déplacement arrive très tard, mais le juge s’est montré déterminé pour le rendre possible et nous a fait part de sa ferme volonté de faire avancer l'enquête sur place.
Après des années de manque de volonté de la justice française, j’ai l’espoir qu’il saura enfin faire émerger des éléments de réponse à la question que nous nous posons depuis plus de 7 ans : pourquoi Agnès est passée de la joie de vivre à la mort ce soir du 31 décembre ? » témoigne Séverine Dury la sœur D’Agnès.
L'efficacité de l'enquête dépendra cependant de l'effectivité de la coopération des autorités burundaises qui sont sollicitées depuis déjà plusieurs années pour mettre à disposition des armes perquisitionnées et des procédures connexes pouvant éclairer le dossier.
Le 31 décembre 2007, Agnès Dury, jeune humanitaire engagée auprès d’Action contre la Faim, était assassinée au Burundi.
Depuis ce soir tragique, les parties civiles n’ont jamais relâché leurs efforts, demandant infatigablement à voir des progrès réels et concrets dans l’enquête, et surtout que toutes les pistes soient prises en considération.
- Après plus de 7 années que reste-t-il des preuves matérielles ?
- Les témoins auront-ils disparu ?
- Les mémoires seront-elles intactes ?
« Le travail sur le terrain est primordial dans une enquête de ce type. Ce déplacement arrive très tard, mais le juge s’est montré déterminé pour le rendre possible et nous a fait part de sa ferme volonté de faire avancer l'enquête sur place.
Après des années de manque de volonté de la justice française, j’ai l’espoir qu’il saura enfin faire émerger des éléments de réponse à la question que nous nous posons depuis plus de 7 ans : pourquoi Agnès est passée de la joie de vivre à la mort ce soir du 31 décembre ? » témoigne Séverine Dury la sœur D’Agnès.
L'efficacité de l'enquête dépendra cependant de l'effectivité de la coopération des autorités burundaises qui sont sollicitées depuis déjà plusieurs années pour mettre à disposition des armes perquisitionnées et des procédures connexes pouvant éclairer le dossier.
Le 31 décembre 2007, Agnès Dury, jeune humanitaire engagée auprès d’Action contre la Faim, était assassinée au Burundi.
Depuis ce soir tragique, les parties civiles n’ont jamais relâché leurs efforts, demandant infatigablement à voir des progrès réels et concrets dans l’enquête, et surtout que toutes les pistes soient prises en considération.
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