« La COSOME ne saurait donc rester indifférente ou cautionner un vote d’une loi qui inspire la peur et ne consolide pas les acquis démocratiques déjà engrangés par le peuple burundais au prix de beaucoup de sacrifices », c’est le point de vue de la coalition de la société civile pour le monitoring électoral, COSOME.
Dans une interview accordée à la Radio Isanganiro ce dimanche sur le projet de loi sur la presse, la présidente de la COSOME a précisé que cette organisation de la société civile est particulièrement préoccupée par la disposition qui oblige le journaliste à décliner les sources d’information au risque de les faire tarir à jamais.
La COSOME se dit préoccupée par la disposition du projet de loi révisé qui espère mettre fin aux délits de presse par des sanctions démesurées.
Justine Nkurunziza, présidente de la COSOME, estime que le niveau de licence exigé pour tout journaliste constitue une entrave pour l’exercice des droits civiles et politiques de chaque citoyens.
La COSOME demande aux médias d’observer le code de déontologie et à la communauté internationale de suivre de près les engagements des parties prenantes à la feuille de route du mois de mars 2013 à savoir la mouvance politique et l’opposition politiques burundaise.
Cette sortie médiatique de la COSOME a lieu au moment où mêmes les Nations Unies elles aussi se sont inscrites contre le nouveau projet de loi sur la presse en attente d’être promulgué ou non par le président de la république.
Dans une interview accordée à la Radio Isanganiro ce dimanche sur le projet de loi sur la presse, la présidente de la COSOME a précisé que cette organisation de la société civile est particulièrement préoccupée par la disposition qui oblige le journaliste à décliner les sources d’information au risque de les faire tarir à jamais.
La COSOME se dit préoccupée par la disposition du projet de loi révisé qui espère mettre fin aux délits de presse par des sanctions démesurées.
Justine Nkurunziza, présidente de la COSOME, estime que le niveau de licence exigé pour tout journaliste constitue une entrave pour l’exercice des droits civiles et politiques de chaque citoyens.
La COSOME demande aux médias d’observer le code de déontologie et à la communauté internationale de suivre de près les engagements des parties prenantes à la feuille de route du mois de mars 2013 à savoir la mouvance politique et l’opposition politiques burundaise.
Cette sortie médiatique de la COSOME a lieu au moment où mêmes les Nations Unies elles aussi se sont inscrites contre le nouveau projet de loi sur la presse en attente d’être promulgué ou non par le président de la république.
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