Reporters sans frontières
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Le journaliste Hassan Ruvakuki en tenue de prisonnier |
"Hassan Ruvakuki a droit à une libération conditionnelle", a confié son avocat, Maître Fabien Segatwa, à Reporters sans frontières. "Si cette demande, formulée dès le verdict en appel, n’était pas satisfaite, nous introduirions un pourvoi en cassation".
La pétition lancée par Reporters sans frontières exigeant la libération de notre confrère a recueilli plus de 2200 signatures à ce jour. Signez la pétition.
Un mouvement de mobilisation a vu le jour dans toute l’Afrique. Parmi les médias, groupes de presse et Maisons de la Presse qui apportent leur soutien à Hassan Ruvakuki, aux côtés de RSF,RFI et l’Audiovisuel extérieur de la France, figurent :
Burundi : Radio Bonesha FM, Groupe Iwacu, Radio Isanganiro, Net Press, Union Burundaise des Journalistes, Arib.Info
Mauritanie : Le Calame, Cridem
Cameroun : Quotidien Mutations
Comores : SOIWUTI (Association des journalistes et techniciens de l’audiovisuel), RFT(Radio Fédération Tsinimoichongo), Al-Watwan
Madagascar : Radio Tana, L’Observateur, La Gazette de la Grande Ile
Gambie : The Point
Niger : Groupe Radio-Télévision Saraounya (RTS), Maison de la Presse de Niamey
Burkina Faso : Centre de Presse Norbert Zongo, Forum des Editeurs Africains
Gabon : Gabonactu.com
Tchad : Hebdomadaire Le Temps, Alwihda, Ndjaména-Hebdo
Côte d’Ivoire : L’Inter
Guinée : L’Aurore, Le Lynx, La Lance, Le Populaire, L’Observateur
Nigéria : The News
Arrêté en novembre 2011, Hassan Ruvakuki avait été condamné en première instance, en juin 2012, à la prison à perpétuité pour "participation à une activité terroriste". En appel, le 8 janvier 2013, il a écopé d’une peine de trois ans de prison ferme, après requalification des faits. Les autorités l’accusent désormais de "participation à une association formée dans le but d’attenter aux personnes et propriétés".Hassan Ruvakuki n’a pourtant fait que son devoir de journaliste : aller au devant de l’information. Peu de temps avant son arrestation, il s’était rendu en Tanzanie voisine pour couvrir la naissance d’un mouvement rebelle burundais.
Toute l’information sur l’affaire Hassan Ruvakuki, depuis son arrestation en novembre 2011.
En savoir plus sur la liberté de la presse au Burundi.
Ce pays figure à la 132e place, sur 179 pays, dans le classement mondial 2013 de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières.
La pétition lancée par Reporters sans frontières exigeant la libération de notre confrère a recueilli plus de 2200 signatures à ce jour. Signez la pétition.
Un mouvement de mobilisation a vu le jour dans toute l’Afrique. Parmi les médias, groupes de presse et Maisons de la Presse qui apportent leur soutien à Hassan Ruvakuki, aux côtés de RSF,RFI et l’Audiovisuel extérieur de la France, figurent :
Burundi : Radio Bonesha FM, Groupe Iwacu, Radio Isanganiro, Net Press, Union Burundaise des Journalistes, Arib.Info
Mauritanie : Le Calame, Cridem
Cameroun : Quotidien Mutations
Comores : SOIWUTI (Association des journalistes et techniciens de l’audiovisuel), RFT(Radio Fédération Tsinimoichongo), Al-Watwan
Madagascar : Radio Tana, L’Observateur, La Gazette de la Grande Ile
Gambie : The Point
Niger : Groupe Radio-Télévision Saraounya (RTS), Maison de la Presse de Niamey
Burkina Faso : Centre de Presse Norbert Zongo, Forum des Editeurs Africains
Gabon : Gabonactu.com
Tchad : Hebdomadaire Le Temps, Alwihda, Ndjaména-Hebdo
Côte d’Ivoire : L’Inter
Guinée : L’Aurore, Le Lynx, La Lance, Le Populaire, L’Observateur
Nigéria : The News
Arrêté en novembre 2011, Hassan Ruvakuki avait été condamné en première instance, en juin 2012, à la prison à perpétuité pour "participation à une activité terroriste". En appel, le 8 janvier 2013, il a écopé d’une peine de trois ans de prison ferme, après requalification des faits. Les autorités l’accusent désormais de "participation à une association formée dans le but d’attenter aux personnes et propriétés".Hassan Ruvakuki n’a pourtant fait que son devoir de journaliste : aller au devant de l’information. Peu de temps avant son arrestation, il s’était rendu en Tanzanie voisine pour couvrir la naissance d’un mouvement rebelle burundais.
Toute l’information sur l’affaire Hassan Ruvakuki, depuis son arrestation en novembre 2011.
En savoir plus sur la liberté de la presse au Burundi.
Ce pays figure à la 132e place, sur 179 pays, dans le classement mondial 2013 de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières.
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