La production de thé vert en 2010 au Burundi a atteint quelque 8.016 tonnes, contre près de 7.000 tonnes la saison précédente, soit une croissance de 20%, a annoncé lundi le directeur général de l’Office burundais du thé (OTB), Alexis Nzohabonimana.
Una plantation de thé dans la région de Teza |
C’est la seconde meilleure production de l’une des principales cultures industrielles d’exportation et de large
consommation au niveau local après le café au cours de ces 10 dernières
années, à en croire la même source qui a rappelé le record historique de
9.010 tonnes de thé produites en 2001.
L’autre motif de satisfaction du directeur général de l’OTB est le chiffre d’affaires de l’entreprise publique qui serait passé de près de 20 milliards de Francs burundais (près de 20 millions de dollars américains) en 2009, à plus de 23 milliards (environ 23 millions de dollars) en 2010 sous les effets conjugués de l’encouragement aux théiculteurs, des cours mondiaux à la hausse et du renouvellement de l’outil de production.
La bonne santé financière ne va toutefois pas empêcher la privatisation de l’entreprise à court terme, a avisé M. Nzohabonimana pour qui cet objectif est une politique de l’Etat burundais qu'il faut respecter.
La filière-café est déjà presque entièrement privatisée dans le cadre d’un programme liant le Burundi aux institutions de Bretton Woods.
Le café, le thé et le coton sont les trois principales cultures nationales qui procurent l’essentiel des devises fortes à l’exportation au pays.
La production de café dépasse rarement les 450.000 tonnes par bonne saison, contre généralement 8 à 10.000 tonnes de coton, selon les statistiques du ministère burundais de l’Agriculture et de l’Elevage.
Pour renflouer ses caisses, l’Etat burundais se tourne vers les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux qui supportent aujourd’hui encore plus de 52% du budget national en attendant l’exploitation d’autres richesses naturelles encore plus prometteuses comme le minerai de Nickel qui serait disponible en grande quantité au Burundi.
Admin@2011
L’autre motif de satisfaction du directeur général de l’OTB est le chiffre d’affaires de l’entreprise publique qui serait passé de près de 20 milliards de Francs burundais (près de 20 millions de dollars américains) en 2009, à plus de 23 milliards (environ 23 millions de dollars) en 2010 sous les effets conjugués de l’encouragement aux théiculteurs, des cours mondiaux à la hausse et du renouvellement de l’outil de production.
La bonne santé financière ne va toutefois pas empêcher la privatisation de l’entreprise à court terme, a avisé M. Nzohabonimana pour qui cet objectif est une politique de l’Etat burundais qu'il faut respecter.
La filière-café est déjà presque entièrement privatisée dans le cadre d’un programme liant le Burundi aux institutions de Bretton Woods.
Le café, le thé et le coton sont les trois principales cultures nationales qui procurent l’essentiel des devises fortes à l’exportation au pays.
La production de café dépasse rarement les 450.000 tonnes par bonne saison, contre généralement 8 à 10.000 tonnes de coton, selon les statistiques du ministère burundais de l’Agriculture et de l’Elevage.
Pour renflouer ses caisses, l’Etat burundais se tourne vers les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux qui supportent aujourd’hui encore plus de 52% du budget national en attendant l’exploitation d’autres richesses naturelles encore plus prometteuses comme le minerai de Nickel qui serait disponible en grande quantité au Burundi.
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