Le professeur Christophe Sebundandi annonce les signes avant-coureurs d’une probable existence d’une rébellion au Burundi et demande à l’Etat à ne pas la nourrir par une répression aveugle
« Certains signes montrent qu’il y aurait une rébellion en gestation au Burundi bien que personne ne revendique la paternité de celle-ci. », analyse le professeur Christophe Sebundandi lors de la présentation du rapport d’une étude portant sur la situation politique, économique et sociale du pays.
Selon lui, le gouvernement ne peut pas accepter pour le moment qu’il y a naissance d’une rébellion mais des signes avant-coureurs sont là notamment : des tracts trouvés à Rumonge, des cotisations prochaines sur les principales routes nationales. Le professeur demande à l’Etat de prendre la situation au sérieux pour éviter le pire et de juguler les violations des droits de l’homme au lieu de la répression car : « A chaque fois qu’il y a injustice des gouvernants, ceux derniers recrutent pour la rébellion », conclut Sebundandi Christophe
Admin@2010
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