Burundi Information
Un otage français, Michel Germaneau, travaillant dans le secteur humanitaire a été assassiné ou exécuté dans le Sahel africain entre le Niger, la Mauritanie et le Mali, peut-être même ailleurs. Les bourreaux terroristes appartiendraient à une organisation affiliée à Al Quaida. Le Président de la France, Sarkozy Nicolas a annoncé personnellement l’information et précisé que ce crime ne restera pas impuni…
Car il y en a des crimes qui restent impunis. Elu le 6 mai 2007, il a officiellement pris ses fonctions le 16 mai 2007. Plus de sept mois plus tard, le 31 décembre 2007, Agnès Dury, une jeune française travaillant pour l’ONG Action contre la Faim (ACF) était assassinée à Ruyigi sous le règne de notre Peter national. Le président Sarkozy n’a pas encore jugé bon de s’exprimer sur le cas ; la France soutien le processus d’institutionnalisation du racisme génocidaire et l’impunité, diplomatiquement on appelle la chose processus de paix...
Outre cette ressortissante française, le représentant du Vatican au Burundi, Monseigneur De Courtney, un européen irlandais, a été assassiné par des forces parties prenantes au gouvernement en place dans ce pays très francophone ; il en a été de même s’agissant d’une ressortissante hollandaise par le très officiel CNDD/FDD, a-t-on dit de sources gouvernementales à l’époque.La hollandaise travaillait pour le compte de l’agence de l’ONU, le PAM ou Programme Alimentaire Mondial, humanitaire donc comme les autres…
Pas besoin d’aller plus loin, l’homme qui gouverne le Burundi avec l’appui de ce qu’on qualifie de Communauté Internationale, a tué de ses propres mains. Le département des services secrets directement sous ses ordres a torturé et filmé pour qu’il puisses admirer son œuvre comme Néron ; une de ses victimes était un ancien Vice-Président du Burundi, pourtant chaud partisan du processus arushien qui a porté notre héros au pouvoir. La torture était rythmée par des slogans du genre : « MUJEKO ! MUJEKO ! MUJEKO ! »([Sautez dessus! Sautez dessus! Sautez dessus!], à la manière des chasseurs encourageant leurs chiens à dépecer le gibier ; cela s’est passé dans les bureaux de la Présidence de la République appelés « Documentation Nationale »…
Ce leader bien aimé vient de se faire élire « très démocratiquement », ce sont des observateurs européens qui le confirment, dans un pays où les opposants sont assassinés, emprisonnés et persécutés et les ONGs muselés. Rajabu Hussein est en prison, aux côtés de faux putschistes. Lorsque ses administrés furent massacrés et jetés dans la Ruvubu, sous les ordres d’un commandant du camp militaire de Muyinga, son gouverneur de province n’a eu rien d’autre à dire que ceci : IKIZIGA GISA N’IKINDI, en d’autres termes : on s’en fout, les victimes étaient qualifiés de FNL...
Car cela paraît suffisant pour justifier les massacres répétitifs et extrajudiciaires de petits agriculteurs et éleveurs par le dictateur des lieux qui hier assassinait les enfants de ses propres mains, exterminait les Tutsi et n’importe quel passant par les commandos poseurs des mines antichar et anti-personnel sur la voie publique et dont Nkurunziza Peter, car c’est toujours de lui qu’il s’agit, était le chef avant de se faire propulser au sommet de l’Etat burundais par la Communauté dite internationale...
La même Communauté Internationale dit comme Sarkozy : il faut combattre par tous les moyens le terrorisme et ôter toute légitimité à ceux qui le pratiquent. Il fut un temps où on enseignait aux croyants : FAITES SEULEMENT CE QU’ILS VOUS DISENT ET NON CE QU’ILS FONT…
Car il y en a des crimes qui restent impunis. Elu le 6 mai 2007, il a officiellement pris ses fonctions le 16 mai 2007. Plus de sept mois plus tard, le 31 décembre 2007, Agnès Dury, une jeune française travaillant pour l’ONG Action contre la Faim (ACF) était assassinée à Ruyigi sous le règne de notre Peter national. Le président Sarkozy n’a pas encore jugé bon de s’exprimer sur le cas ; la France soutien le processus d’institutionnalisation du racisme génocidaire et l’impunité, diplomatiquement on appelle la chose processus de paix...
Outre cette ressortissante française, le représentant du Vatican au Burundi, Monseigneur De Courtney, un européen irlandais, a été assassiné par des forces parties prenantes au gouvernement en place dans ce pays très francophone ; il en a été de même s’agissant d’une ressortissante hollandaise par le très officiel CNDD/FDD, a-t-on dit de sources gouvernementales à l’époque.La hollandaise travaillait pour le compte de l’agence de l’ONU, le PAM ou Programme Alimentaire Mondial, humanitaire donc comme les autres…
Pas besoin d’aller plus loin, l’homme qui gouverne le Burundi avec l’appui de ce qu’on qualifie de Communauté Internationale, a tué de ses propres mains. Le département des services secrets directement sous ses ordres a torturé et filmé pour qu’il puisses admirer son œuvre comme Néron ; une de ses victimes était un ancien Vice-Président du Burundi, pourtant chaud partisan du processus arushien qui a porté notre héros au pouvoir. La torture était rythmée par des slogans du genre : « MUJEKO ! MUJEKO ! MUJEKO ! »([Sautez dessus! Sautez dessus! Sautez dessus!], à la manière des chasseurs encourageant leurs chiens à dépecer le gibier ; cela s’est passé dans les bureaux de la Présidence de la République appelés « Documentation Nationale »…
Ce leader bien aimé vient de se faire élire « très démocratiquement », ce sont des observateurs européens qui le confirment, dans un pays où les opposants sont assassinés, emprisonnés et persécutés et les ONGs muselés. Rajabu Hussein est en prison, aux côtés de faux putschistes. Lorsque ses administrés furent massacrés et jetés dans la Ruvubu, sous les ordres d’un commandant du camp militaire de Muyinga, son gouverneur de province n’a eu rien d’autre à dire que ceci : IKIZIGA GISA N’IKINDI, en d’autres termes : on s’en fout, les victimes étaient qualifiés de FNL...
Car cela paraît suffisant pour justifier les massacres répétitifs et extrajudiciaires de petits agriculteurs et éleveurs par le dictateur des lieux qui hier assassinait les enfants de ses propres mains, exterminait les Tutsi et n’importe quel passant par les commandos poseurs des mines antichar et anti-personnel sur la voie publique et dont Nkurunziza Peter, car c’est toujours de lui qu’il s’agit, était le chef avant de se faire propulser au sommet de l’Etat burundais par la Communauté dite internationale...
La même Communauté Internationale dit comme Sarkozy : il faut combattre par tous les moyens le terrorisme et ôter toute légitimité à ceux qui le pratiquent. Il fut un temps où on enseignait aux croyants : FAITES SEULEMENT CE QU’ILS VOUS DISENT ET NON CE QU’ILS FONT…
Admin@2010
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